La mer est devenue plus agitee vers le large, et Fanny malgres ses gravole, a ete malade une bonne partie du voyage.
Les heures sont longues en mer avec le bruit du diesel sous nos pieds, dans le bateau on s'organise, on fait cuire du riz et du poisson bouillie pour les passagers, tres simple, avec un peux de piment ca passe...
En se raprochant des terres, qui est en fait un enssemble de centaines d'iles eparses, le mnoteur est tombe en panne au beau milieu d'une passe, regards inquiets des passagers, mais surtout plus tard de l'equip[age lorsque le bateau se raprochait dangeureusement d'un enssemble de rochers..
On jette l'ancre, diagnostique: le piston du moteur de camion 180ch est mort! tres rapidements un bateau du village proche vient nous voir, la solidaritee en mer est tres forte.
Grace au reseaux de telephone p[ortable qui est de facon surprenante accessible ici comme en pleine mer, on appel un bateau de coron soit 2h plusd aou nord pour venir nous chercher.. longue attente.. il est 3h et le bateau n'arrive qu'a 8h..
On est treuille, et c'est peut etre la meuilleur partie du voyage car on se sent comme sur un voilier, sans moteur , sans bruits.. avec la trainee de plancton luminecent laissee dans lke siage du bateau.. arrivee a minuit..
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