15/04/2008

Nous sommes reste deux jours dans une auberge charmante, faite de bamboo et de bois, pour 20$ seulement nous avons une grande chambre climatisee, mais l’eau est froide, ce qui n’est pas si grave car il fait 35 degre a l’exterieur…
Premiere visite de Puerto Princessa, nous embarquons dans un “tricycle”, side car couvert bricole a partir d’une vielle Yamaha de 25 ans, c’est le pays de la demerde ici.



On s’enfonce dans la ville qui est en fait une route principale debouchant sur le port,.
Ici il n’y a pas de taxi, et tout le monde se deplace dans ces “trycile”, il y en a des centaines, se faufillant comme des serpents dans un traffic omnipresent, le bruit des moteurs 2 temps et la fummee est sufoquante.

Nous demmandons a “Ram” notre chauffeur de nous ammener vers une favela que l’on peux voir au loi, du port. Au loin au voit des dixaines de cabanes sur pilotis, faites de tole et de bois de recup, et devant chaque cabane, des “bancas”, barque locale a balancier.

Apres un un parcour mouvemente sur les routes cabossees et jonchees de detritus, nous arrivons dans ce village de misere.

Nous somme partage entre notre desir de rencontre et enguoisse.
Armes de nos cameras flambant neuves, nous avancons dans ce dedale, on nous devisage, on ne doit pas voir souvent de blancs dans ces bidonvilles, nous demmandons au chauffeur de nous accompagner, le contact sera plus facile..




Dans les cabanes, les familles s’entassent, regardent la tele, dormant sur des tapis tresse de palmiers, l’endroit et pauvre, mais paisible. Des enfants viennent vers nous, curieux, puis les parents, et enfin après quelques blagues, on rigole, l’ambiance est detendue, nous avancons maintenant sans crainte, et commencons a photographier..

Il y a des enfants partout dans ce pays, et ils sont magnifiques !








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